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 [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir)

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Ana Catarina de Monforte
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MensagemAssunto: [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir)   [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) EmptyQua maio 25, 2011 9:28 pm

Citação :

    Sommaire:


    1. L'exploitation minière des duchés.
    Rédacteur : Gweltas
      1. Une mine comment ça marche ?
      2. État, production et entretien
      3. Améliorations et diminutions des mines
      4. Taux d'occupation et salaires
      5. Optimisations
      6. Rôles et responsabilités dans un conseil ducal
      7. Conclusion

    2. De l'exploitation saunière
    Rédacteur : Guilhem
      1. Préambule
      2. De la rentabilité de l'exploitation
      3. Du commerce du sel

    3. Le cas du Bourbonnais-Auvergne
    Rédacteur : Unan
      1. Les Mines du B.A
      2. Les Outils à disposition du CAM

    4. Les ports et leur construction
    Rédacteur : Russocarine
      1. les ports
      2. Le niveau des ports
      3. La gestion des ports
      4. La construction des ports

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MensagemAssunto: Re: [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir)   [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) EmptyQua maio 25, 2011 9:42 pm

Citação :

    L'exploitation minière des duchés.
    Rédacteur : Gweltas


    Qu'est ce qu'une mine ? Vaste question ! Pour certains c'est un simple trou dans le sol, pour d'autres un moyen de survivre et enfin pour une race étrange d'économistes, une activité à optimiser !

    Je vous propose donc de reprendre les fondamentaux et de dévoiler les arcanes de la gestion des mines en plusieurs points :

    1. Une mine comment ca marche ?
    2. Etat, production et entretien
    3. Augmentation de niveau
    4. Taux d'occupation et salaires
    5. Optimisations
    6. Rôles et responsabilités dans un conseil ducal
    7. Conclusion
    _______________

    Première partie: Une mine comment ça marche?

    Une mine est la combinaison de plusieurs paramètres et se décrit ainsi:

    Código:
    Mine 10: Mine de fer - Noeud 191 - Etat : Bon
    Rendement: 1.8 kg fer/travailleur
    Travailleurs: 38/50 - Entretien effectué

    Première ligne:
    Numéro de la mine dans le duché
    Type de mines possible: Fer/Pierre/Or
    Numéro du noeud: il vous faudra faire un tableau de correspondance entre ce numéro et vos villages.
    Etat des mines: Bon/Moyen/Dangereux/Effondrement

    Deuxième ligne
    Rendement de la mine comptabilisé par mineur travaillant réellement

    Troisième ligne
    Travailleurs : Nb de travailleurs actuel/capacité maximale
    Etat de l'entretien

    Chaque jour (l'heure importe peu) il est nécessaire d'entretenir toutes les mines ouvertes sinon elles vont se dégrader. Cet entretien nécessite de la pierre et du fer qui doivent être donc présent dans le stock du duché. Ainsi, pour faire fonctionner une mine de fer, il est nécessaire de consommer de la pierre et du fer pour l'entretien !

    Tout l'art de gérer correctement les mines d'un duché consiste donc dans la bonne compréhension des mécanismes de fonctionnement et dans l'optimisation de la production et des coûts d'entretien des mines.

    Deuxième partie: État, production et entretien

    * La production d'une mine est définie par son type, son niveau et le nombre de mineurs travaillant dans la mine.
    * L'entretien d'une mine est définie par son type, son niveau et le nombre de mineurs ayant travaillé dans la mine la veille.

    Le niveau est un paramètre implicite de la mine qui doit être déduit directement à partir de sa production. La production et le coût d'entretien de chaque mine augmentent proportionnellement au niveau.

    Les tableaux ci-dessous reprennent les données en fonction du type de chaque mine et doivent être comprises pour des mines d'une capacité maximale de 100. Ainsi, si une mine a une capacité maximale de 50, les coûts d'entretien seront divisés par 2. La production est exprimée pour 100 mineurs actifs.
    * Pour obtenir la production réelle d'une mine, il convient donc de diviser ce chiffre par 100 et de le multiplier par le nombre de mineurs réels.
    * Pour obtenir le coût d'entretien d'une mine, il convient donc de diviser ce chiffre par 100 et de le multiplier par le nombre de mineurs réels de la veille.

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    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Mine-981871

    Ces tableaux sont la base du travail de tout économiste!

    Ainsi, une mine de fer de niveau 9 avec une capacité de 38/50 mineurs, ayant eu 46 mineurs la veille exigera:

    Código:
    Coût d'entretien : Pierre = 40 * 46/100 = 18,4/Fer = 30 * 46/100 = 13,8
    Production : Fer = 144 * 38/100 = 54,72 kilos
    Bilan net : Fer = 54,72 -13,8 = 40,92 kg / Pierre = -18,4 Qag

    Comme dans tous les calculs, il existe un système d'arrondi qui prend au plus proche, soit dans notre exemple 41kg de fer et -18Qag de pierre.

    De plus, l'état d'une mine peut être "Bon", "Moyen", "Dangereux" ou "Effondrement". L'état "Effondrement" est un niveau particulier.
    Une mine non entretenue un jour se dégrade et passe donc d'un état Bon vers Moyen ou Moyen vers Dangereux. Au delà de "Dangereux", l'état "Effondrement" n'est pas automatique.
    Si une mine a perdu un état, il est possible de faire un entretien d'urgence qui la remontera à l'état supérieur. Pour cela, il faudra utiliser le triple (x3) de pierre et de fer nécessaire à un entretien normal. Il est intéressant de noter que cet entretien est basé sur le nombre de mineurs ayant travaillé dans la mine la veille. Ainsi, si la mine était fermée la veille, l'entretien d'urgence sera gratuit ! A noter que suite à une réparation d'urgence, une mine en état "Effondrement" repasse à l'état "Moyen"

    De plus, l'état d'une mine a une influence directe sur les risques de diminution de niveau. Nous allons donc aborder ce point dans la partie suivante.

    Troisième partie : Améliorations et diminutions des mines

    Il est possible lors de la phase d'entretien quotidienne de soit l'entretenir normalement, soit de monter le niveau d'une mine. L'amélioration est effective le surlendemain. Cela coûte quatre fois (x4) plus cher qu'un simple entretien du niveau visé (4 fois l'entretien du niveau 10 si la mine est niveau 9 donc) mais ne nécessite pas d'entretien le lendemain. Ceci signifie donc que cela donc qu'une amélioration est un surcoût (par rapport à l'entretien normal) équivalent à 2 jours d'entretien.
    Cette approximation permet d'estimer directement la perte occasionnée et donc le temps d'amortissement..

    L'amélioration d'une mine a deux impacts : l'augmentation de la production et l'augmentation du coût d'entretien. Une seconde règle de base du travail d'un gestionnaire est donc de trouver le point optimum d'inflexion, c'est à dire l'optimisation de toutes les mines pour dégager un maximum de bénéfices !

    La diminution quant à elle est naturelle et ... imprévisible. C'est la plus grande source de pertes qu'un duché doit attendre. La diminution d'un niveau pour une mine donnée est basée sur son état. Ainsi, une mine en état "Bon" a 1% de chance de voir son niveau diminuer sans que son état ne bouge. Pour une mine en état "Moyen", le risque monte à 25% et passe à 33% en état "Dangereux" !

    Il faut de plus ajouter le risque d'effondrement d'une mine.

    L'effondrement signifie la perte immédiate de 1 niveau, le passage à l'état "Effondrement" et l'impossibilité pour les mineurs d'y travailler (la mine est donc considérée comme si elle était "fermée". Pour repasser en état "Bon", il faudra donc faire deux entretiens d'urgence (état "Moyen" puis état "Bon") Ce comportement peut être appelé à évoluer. Un effondrement de mine signifie donc une très forte perte financière. Les risques d'effondrement dépendent eux aussi de l'état de la mine. Ils sont de 0% pour une mine en bon état, de 3% pour une mine en état moyen et 10% pour une mine en mauvais dangereux.

    On voit donc qu'en régime de croisière, il vaut toujours mieux avoir des mines bien entretenues. Néanmoins, nous verrons dans le chapitre 5, qu'il existe des cas bien particuliers pour lesquels il peut être intéressante de passer une mine à l'état "Moyen", voire "Dangereux".

    Quatrième partie : Taux d'occupation et salaires

    Le salaire des mineurs est payé en deux fois par le duché. La première moitié est payée le lendemain du travail, et la seconde moitié le dimanche matin. Ceci a une influence notable sur la trésorerie du duché qui doit toujours prévoir une forte diminution tous les dimanches matin et se doit être en mesure de l'absorber.

    D'autre part, le taux d'occupation des mines doit être une préoccupation constante de la part des gestionnaires.
    Pour cela, il faut bien différencier les concepts suivant : la capacité maximale de la mine, la capacité totale d'accueil et nombre de mineurs travaillant dedans pour une journée donnée.
    - Capacité maximale : capacité structurelle spécifique à chaque mine. Elle ne peut être modifiée. Elle détermine le nombre maximum de mineurs qu'une mine peut accueillir en théorie.
    - Capacité totale : capacité d'accueil définie par le bailli. Elle détermine le nombre maximum de mineurs qu'une mine peut accueillir en pratique
    - Nombre de mineurs : nombre de travailleurs pour une journée donnée qui ne peut dépasser la capacité totale.

    On a vu au dessus que le coût d'entretien d'une mine dépendait du nombre de mineurs ayant travaillé dans la mine la veille et non de sa capacité totale ou maximale. Or la production dépend du nombre réel de mineurs qui vont travailler dans la mine le jour même. Ce nombre ne peut excéder la capacité totale qui elle même ne peut excéder la capacité maximale.

    Dans une optique d'optimisation, la modification de la capacité totale à un montant différent de la capacité maximale doit être utilisée lorsque vos mines sont déficitaires. En effet, :

    Exemple : mine de fer niveau 15 de capacité maximale 50. Taux d'occupation à 100% (la veille et ce jour) avec un salaire de 17 écus par mineur et une valorisation de la pierre de 16 écus et du fer de 19 écus (nous reviendrons sur ces chiffres plus tard).

    Código:
    Capacité totale (50 personnes) :
    Fer = 50/100*189 - 68*50/100 = 61 kg / Pierre = - 90*50/100 = - 45 Qg / Salaires = -850 écus
    soit un bilan net de 61*19-45*16-850 = -411 écus/jour

    Capacité totale (25 personnes):
    l'entretien et la production sont tous deux divisées par 2 (en régime de croisière)
    soit un bilan net de 61/2*19-45/2*16-850/2 = -206 écus/jour

    Comme on le voit dans l'exemple, la diminution de la capacité totale, diminue artificiellement le rendement d'une mine : si la mine est bénéficiaire, alors ses bénéfices seront moindre, si la mine est déficitaire, son déficit sera aussi moindre.
    Au final, si une mine est bénéficiaire, le duché ne gagnera donc pas autant d'argent qu'il aurait pu en gagner et proposera moins de postes de mineurs à ses habitants.

    Il est donc bien plus prudent de ne jamais modifier la capacité totale et de la garder au niveau de la capacité maximale et de travailler à plein régime. Si vous souhaitez modifier cette capacité totale, vérifiez avec soin toutes les conséquences !

    Cependant, si votre duché éprouve des difficultés à écouler ses réserves excédentaires de fer ou pierre, vous pouvez utiliser cet outil pour réduire artificiellement votre production au lieu de stocker (mais c'est un choix risqué) !

    Cinquième partie : Optimisations

    L'optimisation des mines revient à trouver le niveau de fonctionnement assurant le gain le plus grand par mineur. Cela dépend du prix des matières premières (relativement stables dans une fourchette de 10 ou 20% par rapport au cours moyen de 19 écus par kg de fer et 16 écus par quintal de pierre).

    Comme expliqué dans les parties précédentes, lorsque une mine monte de niveau, la production augmente mais aussi le coût d'entretien. Jusqu'à un certain niveau, l'accroissement de la production est plus grande que le coût d'entretien supplémentaire. Au-dessus de ce niveau, on gagne certes en production mais on accroit aussi les dépenses d'entretien de façon plus importante.

    Mélangeons désormais le tout ensemble et vérifions pour chaque type de mine quel est l'optimum technique (hypothèses de travail : salaire = 15 écus, prix du fer = 19 écus et prix de la pierre = 16 écus) et nous obtenons alors ces courbes:

    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Screenshot003ku4

    On voit donc très nettement des pics de rendement net pour toutes les mines.

    Código:
    Mine de fer = niveau 10
    Mine de pierre = niveau 11 ou 17
    Mine d'Or = niveau 10

    Il convient donc de s'assurer que toutes les mines d'un duché ne soient ni en dessous, ni au dessus de ces niveaux !

    A noter que les mines de pierre sont un cas particulier : l'optimum absolu est au niveau 17. Or, le coût d'amélioration pour atteindre ce niveau demeure prohibitif par rapport aux gains escomptés.
    Si votre duché a déjà ses mines au niveau 17, il convient donc de les garder, sinon optimisez au niveau 11 !

    Si les mines de votre duché ne sont pas à ces niveaux, il convient de les y mettre au plus vite. Si vos mines sont moins productives, il suffit de les améliorer, et si leur niveau est trop élevé, il est possible d'accélerer le processus en plaçant volontairement la mine à l'état "Moyen". Cela augmente les risques de baisse de niveau à 25%, ce qui est exactement le but recherché ! Il ne faudra pas oublier cependant de faire les travaux d'entretien d'urgence une fois le niveau désiré atteint.

    Une manière plus risquée consiste à placer les mines en état "Dangereux". Cela augmente singulièrement les risques d'effondrement (puisqu'ils sont désormais de 10% de chance par jour)mais comme il est impossible de descendre sous l'état "Dangereux", il est alors inutile d'entretenir ces mines pendant toute la période de remise au niveau optimal (ou tout du moins tant qu'elles ne se sont pas effondrées) !

    Sixième partie : Rôles et responsabilités dans un conseil ducal

    La répartition des mines est simple et redondante et met en jeu 4 personnes différentes.
    - Le Commissaire aux mines est le garant du bon entretien des mines. Il décide de leur ouverture ou fermeture, les entretient tous les jours et les améliore.
    - Le Bailli gère toutes les composantes financières, à savoir salaires des mineurs (qui peut être différent d'une mine à une autre) et fixe la capacité totale comprise entre la capacité maximale et sa moitié.
    - Le Commissaire au commerce gère les stocks de fer et de pierre que produisent les mines. Il doit s'assurer qu'il en restera toujours suffisamment pour les entretiens.
    - Le Duc a la possibilité d'entretenir normalement toutes les mines en cas d'urgence (par exemple en cas d'absence). Il ne peut aucunement faire d'entretiens d'urgence ou d'améliorations.

    A noter qu'actuellement, le bailli a encore l'accès intégral aux fonctions d'entretien du commissaire aux mines.

    Dernière partie: Conclusion

    Récapitulons les recommandations :

    * Optimisez votre réseau minier : Fer et or niveau 10 et pierre niveau 11
    * Entretenez vos mines tous les jours et consultez le CaC pour suivre les variations de stocks et anticiper les pénuries.
    * La masse salariale est importante, évitez les hauts salaires.
    * Avec du fer à 19 écus et de la pierre à 15 ou 16 écus, on a toujours intérêt à importer ce qui nous manque et à ouvrir les mines au maximum. Attention cependant de trouver des débouchés pour les excédants.
    * Si votre réseau minier est bien optimisé, plus vous avez de mineurs toutes mines confondues et plus vous dégagez de bénéfices.
    * Les mines atteignent souvent 80% des revenus directs des duchés et comtés aussi ne les négligez pas!

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Citação :

    De l'exploitation saunière
    Rédacteur : Guilhem


    Préambule
    L'exploitation du sel, comme nombre d'autres productions rares et exclusives, sont un atout maître pour Provinces qui en disposent. Elles peuvent en tirer richesses, relations commerciales privilégiées, leviers diplomatiques.
    Le présent traité s'applique au cas particulier des salins d'Aigues-Mortes, mais peut être généralisé aux autres exploitations de sel marin ou de sel gemme, dont l'économie est semblable.

    I - De la rentabilité de l'exploitation
    L'économie des salins est étonnement similaire à celle des mines de fer.
    La littérature sur le sujet étant déjà abondante, nous ne ferons donc que faire certains rappels nécessaires à la suite de l'étude sans les démontrer:
    • La productivité maximale des salins est atteinte à un niveau numéroté 10 dans la littérature minière. Investir moins fait perdre plus en production que ce que l'on économise en entretien. A l'inverse investir plus n'augmente pas assez la production pour couvrir les entretiens supplémentaires nécessaires au maintien à niveau.
    • A ce niveau 10, le bon état des salins permet à chaque travailleur de récolter 1,52 boisseaux de sel par jour.
      Il est à noter qu'il est de coutume de donner le sel en surplus ne permettant pas de remplir un boisseau entier aux sauniers l'ayant récolté pour la conservation de leurs propres aliments.
      Ainsi la production totale est arrondie au boisseau inférieur.
    • Au cours de son travail, chaque travailleur devra utiliser 0,45 quintal de pierre afin d'entretenir fares, cobiers ainsi que les canaux les reliant, ainsi que 0,33 kg de fer pour entretenir les racloir servant à la récolte et les vannes permettant l'isolation des différentes pièces d'eau afin d'assurer une production de niveau 10.
      Ces matériaux étant distribués en lots d'un kilogramme de fer et d'un quintal de pierre aux travailleurs, les entretiens sont donc arrondis au kilogramme ou au quintal supérieur.


    Les salins d'Aigues-Mortes trouvent leur main d'œuvre dans une région déjà très sollicitée par d'autres travaux, principalement une mine de fer et une mine d'or. Il est donc difficile de trouver assez de main d'œuvre pour exploiter au maximum toutes ces ressources.
    Il convient alors de déterminer où il est préférable d'envoyer la main d'œuvre disponible.
    Le fer étant ressource stratégique, tant pour l'entretien des mines, des carrières et des salins que pour la forge et l'équipement des armées, il paraît incongru d'en diminuer la production, la main d'œuvre devra en conséquence être dirigée en priorité dans la mine de fer.
    Il faudra donc choisir entre donner priorité à l'exploitation de la mine d'or ou à celle des salins.

    Les salins pouvant accueillir au maximum 30 sauniers, nous nous baserons sur ce chiffre pour définir s'il est préférable d'exploiter au maximum les salins, ou si il vaut mieux envoyer ces 30 travailleurs dans la mine d'or.

    La mine d'or:
    30 mineurs exploitant une mine d'or de niveau optimal (10) permettent de frapper 1 512 écus de monnaie (50,40 écus par mineur).
    Leur salaire coûtera environ 450 écus (15 écus par mineur), et les entretiens de la mine consommeront 30 quintaux de pierre (1 quintal par mineur) et 23 kg de fer (0,75 kg par mineur).
    En considérant qu'un quintal de pierre a pour valeur 14 écus et un kg de fer 19,5 écus, la rentabilité de l'opération est donc de R(or)=1512/(450+30*14+23*19,5)=14,7%
    De même le bénéfice net est de:
    G(or)=1512-(450+30*14+23*19,5)=193,5 écus

    Les salins:
    Les mêmes 30 personnes exploitant les salins produiront 45 boisseaux de sel.
    Leur salaire sera de 450 écus de même et les entretiens consommeront 14 quintaux de pierre et 10 kg de fer.
    Le coût de production Pprod d'un boisseau est donc de:
    Pprod = (450+14*14+10*19,5)/45 = 18,7 écus
    Pour être aussi rentable que l'exploitation de la mine d'or, il faudra vendre les boisseaux de sel à un prix unitaire Pr tel que:
    R(or)=R(sel)=(45*Pr)/(450+14*14+10*19,5)=14,7%
    Ce qui donne Pr=21,45 écus.
    Pour avoir un bénéfice net identique à celui de la mine d'or, il faudra vendre les boisseaux de sel à un prix unitaire Pg tel que:
    G(or)=G(sel)=(45*Pg)-(450+14*14+10*19,5)=193,5
    Ce qui donne Pg=23 écus.

    Conclusions:
    Nous voyons donc se dessiner 4 zones de prix:

    • Au dessus de 23 écus:

    Si il est possible de vendre dans cette zone de prix, il est indiscutablement plus bénéfique de produire du sel que de l'or.
    Ceci permet de plus d'économiser de la pierre et du fer, l'entretien des salins étant inférieur à celui de la mine d'or.

    • Entre 21,45 et 23 écus:

    Dans cette fourchette de prix, l'exploitation d'une mine d'or rapporte plus, mais l'exploitation des salins est plus rentable car ils sont moins gourmands en entretiens.
    Ainsi, si la Province productrice dispose de stocks de pierre et de fer suffisants, il est préférable de privilégier le gain et d'exploiter la mine d'or.
    A l'inverse, si les stocks sont bas et que l'entretien des mines est problématique, l'exploitation des salins permettra d'économiser sur les entretiens.

    • Entre 18,7 et 21,45 écus:

    L'exploitation du sel reste rentable, mais moins que la production d'or.
    En conséquence il n'est bénéfique d'ouvrir les salins que si la mine d'or est pleine.

    • Sous 18,7 écus:

    La production de sel se fait à perte, mieux vaut alors fermer les salins.

    II - Du commerce du sel
    Il convient ainsi pour une province productrice de viser un prix de vente minimal de 23 écus par boisseau, et, passé ce prix, de vendre un maximum de production afin de faire entrer un maximum de masse monétaire.
    Ce tarif ne pourra cependant pas être augmenté outre mesure afin de ne pas dissuader les acheteurs potentiels car le production de sel ne sera rentable qu'une fois vendue. Viser un prix trop élevé ferait diminuer la demande, et donc perdre aux salins leur intérêt économique qui est de plus rapporter qu'une mine d'or.
    Afin de déterminer un prix raisonnable de vente, notre étude se penchera tout d'abord sur la filière sel, puis sur les différents acheteurs potentiels.

    A - La "filière sel".

    Le sel est utilisé par les fromagers dans la confection de fromage, qu'il soit issu de lait de vache, de chèvre, ou de brebis ou par les bouchers pour la confection de jambon de pays.
    Les producteurs de fromage comme ceux de jambon sont fortement dépendants du terroir et ne se trouvent pas partout, loin s'en faut, et ce terroir sera souvent situé loin de toute source de sel.
    De même le fromage et le jambon sont des produits rares, recherchés par les nantis de par l'Europe, souvent éloignés du producteur.
    La filière du sel sera donc fortement dépendante des marchands, et se décompose comme suit:
      1. province productrice de sel
      2. marchand
      3. fromager ou boucher
      4. marchand
      5. consommateur


    Les fromagers et bouchers, points centraux de la filière, afin de vivre de leur travail, devront pouvoir se payer honorablement. Un boucher pourra se payer environ 30 écus par jour pour son savoir-faire, tandis qu'un fromager, qui pourra travailler dans son échoppe moins souvent car il ne peut faire que du fromage, pourra quant à lui se payer 40 écus environ.
    En considérant ces salaires, et le coût des matières premières suivants:
    • Carcasse de cochon: 16 écus
    • Lait de vache: 10 écus
    • Lait de brebis ou de chèvre: 19 écus
    • Bois: 5 écus
    • Sel (après transport par un marchand): 27 écus

      En considérant qu'un artisan peut produire:

    • Deux fromages de vache à partir de deux bouteilles de lait de vache, deux boisseaux de sel et deux stères de bois.
    • Un fromage de brebis ou de chèvre à partir de deux bouteilles de lait, un boisseau de sel et un stère de bois.
    • Un jambon à partir d'une carcasse de cochon et deux boisseaux de sel.


    On conclut trivialement que le prix du boisseau de sel pèse pour:
    • environ 45% du prix du fromage de vache (62 écus avant transport).
    • environ 25% du prix du fromage de brebis ou de chèvre (110 écus avant transport).
    • environ 55% du prix du jambon (100 écus avant transport).


    Les marchands, afin d'être intéressés au transport du sel puis du fromage et du jambon, doivent pouvoir gagner une marge, estimée à 10% du prix d'achat.

    Les consommateurs, bien que nantis, ne disposent pas de revenus supérieurs à ceux de n'importe quel érudit et ont un train de vie coûteux. Ils ne paieront donc pas n'importe quel prix pour acheter du fromage ou du jambon.

    Conclusions:
    Comme nous l'avons vu en première partie, les provinces productrices, afin de tirer au maximum profit de leurs salins, ont tout intérêt à vendre au maximum de leur production. Ils ne pourront cependant pas vendre plus de sel qu'il ne se vend de fromage et de jambon.
    Leur intérêt est donc, comme pour les artisans-producteurs et les marchands, de faire en sorte que leurs prix n'explosent pas mais restent raisonnables afin de ne pas tuer la demande.
    On a vu que le prix final des produits finis dépend fortement du prix du sel.
    La conclusion est donc que la province n'a pas intérêt à augmenter le prix de son sel outre mesure afin de le vendre, et ce, pour deux raisons principales:
      1. Limiter le prix du produit fini, et ainsi assurer une consommation régulière de sel.
      2. Vendre plus de sel et fournir plus d'artisans que les autres provinces qui auraient choisi de le vendre plus cher.


    Un tarif de 24 à 25 écus le boisseau semble un bon compromis.

    B - Les acheteurs potentiels.
    Les acheteurs de sel sont principalement de trois types:

    • Les producteurs locaux

    Il peut arriver que des artisans-producteurs se trouvent sur le territoire de la province productrice de sel. Une telle situation est très bénéfique pour la province qui trouve en ces artisans un débouché naturel à son sel.
    La province peut appliquer deux stratégies de vente vis à vis de ces producteurs locaux:
      ]1. Vendre le sel à un prix supérieur en prenant la part revenant normalement au premier maillon de transport marchand devenu inutile. La province gagnera alors d'avantage d'écus grâce à ces ventes de sel.
      2. Vendre le sel au même prix qu'à un autre acheteur voire à un à prix préférentiel.
      Ceci permet de produire le fromage ou le jambon local à moindre prix, lui donnant un avantage concurrentiel sur les produits des autres provinces et ainsi soutenir l'économie locale. En effet, soit les artisans gagneront plus en vendant au même prix que leurs concurrents, soit ils vendront plus en vendant moins cher.
      Ceci permet donc également d'augmenter la consommation de sel locale et donc de limiter le risque de sel invendu.


    • Les acheteurs institutionnels

    Cette catégorie regroupe les ventes de sel faites par contrat entre provinces.
    Ces ventes répondant à de nombreux impératifs autres que la simple vente de sel (diplomatie, échanges de marchandises stratégiques, vente de surplus inutiles en échange de vente de sel à tarif préférentiel, ...), nous ne développerons pas ce point dans la présente étude.

    • Les marchands

    Les marchands ne doivent pas être négligés dans la stratégie de vente. Ils permettent en effet d'écouler une quantité non négligeable de sel en déployant un moindre effort de négociation que pour une vente à un acheteur institutionnel.
    Un marchand n'achètera du sel que sous deux conditions:
      1.Le prix de vente lui permet de dégager une marge, estimée à 10% du prix de vente.
      2. Il garde une certaine marge de négociation avec les artisans-producteurs, qui sont à la fois ses clients de sel et ses fournisseurs de jambon et fromage.


    Là encore, un tarif de 24 à 25 écus semble remplir ces deux impératifs.

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MensagemAssunto: Re: [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir)   [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) EmptyQua maio 25, 2011 10:18 pm

Citação :

    Le cas du Bourbonnais-Auvergne
    Rédacteur: Unan



    1- Les Mines du B.A

    voici une carte de localisation des mines dans le duché:

    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Camcartelocalisationdesmu1

    La mine N°1 est une mine de fer se trouvant entre Bourbon et Moulins (Fer de lance)
    La mine N°2 est une mine d'or se trouvant entre Moulins et Montpensier (Cœur d'or)
    La mine N°3 est une mine de fer se trouvant entre Montpensier et Clermont (Volonté de fer)
    La mine N°4 est une mine de pierre se se trouvant entre Montpensier et Thiers (Muscles comme pierre)
    La mine N°5 est une mine d'or se trouvant entre Clermont et Thiers (Parlé d'or)
    La mine N°6 est une mine de fer se trouvant entre Bourbon et Montluçon (Croise le fer)
    La mine N° 7 est une mine d'or se trouvant entre Montpensier et Montluçon (La poule au œufs d'or)
    La mine N°8 est une mine de pierre se trouvant à Montbrisson (Cœur de pierre)
    La mine N°9 est une mine d'or se trouvant entre Murat et Aurillac (Cheveux d'or)
    La mine N°10 est une mine de fer se trouvant à Murat (La marqué au fer rouge)
    la mine N°11 est une mine de pierre se trouvant à Polignac. (La géante de pierre)

    2 - Les Outils à disposition du CAM:

    A son arrivé le Conseillé Aux Mines reçoit des tableaux (sous Excel ou programme équivalent). Il existe deux méthodes d'utilisation.

    Première méthode (que je conseille):
      1. Vérifier la productivité des mines:
      si les mines d'or ont une productivité de 50.4, les mines de fer une productivité de 1.52 et les mines de pierre une productivité de 2.1, alors "entretien normal". Si par contre, une des mines a baissé de productivité alors cette mine-là doit être "entretenue et améliorée".
      2. Relever le coût d'entretien de chaque mine dans le tableau suivant:


    tableau1
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Productionpa3

    A droite du tableau, on peut voir les dépenses du jour. On "s'amuse" ensuite avec la colonne Nb (le nombre des mineurs) afin de d'arriver au bon coût . Il suffit ensuite de prendre le résultat dans la partie "entretien normal" du tableau ci dessous (tableau N°2) pour savoir le bénéfice du duché.
    A noter: les calculs sont approximatifs, il peut donc arriver que pour un même cout de l'entretien on peut avoir plusieurs nombre de mineurs possible.

    tableau2
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Entretiensb1


    Dans l'exemple donné, la mine N°2 a baissé en productivité, elle a donc besoin d'un "Entretien-Amélioration". Ce dernier est égal à quatre fois le cout d'entretien normal au niveau souhaiter. Cependant le lendemain, l'entretien est gratuit. De ce fait, nous allons compter pour le jour même les 3/4 de l'entretien améliorer le quatrième quart étant comptabilisé le lendemain. Pour ce faire:
      1. On fait la même manipulation qu'habituellement sur le tableau N°1 jusqu'à trouver le nombre de mineurs qui correspond au quart de l'entretien amélioration
      2. On utilise la partie "Entretien-Amélioration" du tableau N°2, on y inscrit les dépenses de l'"Entretien-Amélioration"(chiffre inscrit sur l'interface IG)
      3. Il suffit ensuite de prendre les résultat de la partie "entretien-normal"


    Il est possible ensuite d'écrire les différents résultats dans le tableau suivant (tableau3), Ceci afin d'avoir un résultat pour la semaine.

    tableau3
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Entretien2cx8

    3 les statistiques

    En Bourbonnais Auvergne, il est rare que les données économiques ne soient pas classés "secret défense", hors il est en même temps demandé aux conseillé de faire un rapport. Dans le cas des mines, il ne peut s'agir que de chiffres, car dire tout va bien ne suffit généralement pas. Pour ce faire il existe un autre tableau: "le tableau de l'occupation des mines". Il suffit d'y inscrire chaque jour le nombre de mineurs calculé. Pour des rapport plus appropriés pour les mairies les calculs prendre les résultat sur le tableau 4.Bien que les calculs se fasse automatiquement, il ne faut pas oublier de transferrer les donnés présentes dans la colonne "tx d'occupation" dans la colonne "sem-1" chaque semaine.

    tableau d'occupation des mines
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Occupationno2

    tableau4
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Minehw4

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MensagemAssunto: Re: [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir)   [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) EmptyQua maio 25, 2011 10:38 pm

Citação :

    Les ports et leur construction
    Rédacteur : Russocarine


    I Les ports

    Il y a plus de 280 ports en tout, entre ports constructibles et simple baies d'amarrage.
    le recensement des ports en cours
    la carte des voies navigables par MrGroar

    Il faut distinguer les ports naturels des ports construits.
    Tous les ports sont de base des ports naturels, où on peut amarrer, nommer un chef de port, vendre des bateaux etc.
    Chaque port naturel est plus ou moins grand et permet donc de construire des ports plus ou moins grands (voir pas de port du tout, dans ce cas, ça reste une "baie d'amarrage")

    • Chaque port naturel basé dans une ville est suffisamment grand pour au moins construire un petit port (port de niv 2).
    • Les ports situés sur un fleuve ne peuvent pas atteindre le niveau d'un port de guerre (port de niv4). Les ports à l'embouchure des fleuves sont considérés comme des ports maritimes.
    • Une majorité des ports naturels hors ville est non constructible. C'est a dire qu'on ne pourra jamais y construire de bateau ni les réparer.
      Il faut être sur le lieu du port pour voir s'il est constructible ou pas.


    port en ville, non aménagé
    port naturel
    port constructible
    port non constructible


    II Le niveau des ports

    • Baie d'amarrage (niveau 1): Capable d'accueillir 2 bateaux
    • Petit port (niveau 2) : Capable d'accueillir 4 bateaux, dispose d'un chantier de construction (petits bateaux fluviaux et maritimes). Peut réparer tout type de bateaux.

    Código:
    - Terrassement : 150 ouvriers
    - Gros oeuvre : 50 ouvriers, 100 pierres
    - Charpente : 30 charpentiers, 50 bois
    - Finitions : 30 forgerons, 50 fer
    • Chantier naval (niveau 3) : Capable d'accueillir 7 bateaux, dispose de trois chantiers de constructions (bateaux de commerce). Peut réparer tout type de bateaux.

    Código:
    - Aménagement : 400 ouvriers
    - Maçonnerie : 100 maçons, 100 pierres
    - Zones de constructions : 100 forgerons, 200 fer
    - Charpente : 100 charpentiers, 200 bois
    - Maçonnerie extérieures : 100 maçons, 100 pierres
    - Renforcement des structures : 200 ouvriers
    - Mise en conformité avec les directives européennes : 150 ouvriers
    • Arsenal (niveau 4) : Capable d'accueillir 10 bateaux, dispose de cinq chantiers de constructions (bateaux de guerre) . Peut réparer tout type de bateaux. Il n'est pas possible de construire un arsenal sur un fleuve.

    Código:
    - Aménagement : 1000 ouvriers
    - Constructions métalliques : 200 forgerons, 1000 fer
    - Charpente : 100 charpentiers, 200 bois
    - Maçonnerie : 200 maçons, 500 pierres
    - Renforcements : 200 forgerons
    - Renforcement des structures : 200 ouvriers
    - Mise en conformité avec les directives européennes : 150 ouvriers

    III La Gestion des Ports

    Le CaM nomme les chefs de ports, que les ports soient constructibles ou pas.
    Le Bailli peut donner un mandat au chef de port qui peut le transférer directement dans l'inventaire du port. Il fixe les taxes d'amarrage journalières.
    Le Chef de Port dirige la construction du port, la construction et la réparation des bateaux, et autorise (ou pas) les amarrages. Dès qu'un bateau est fini, il nomme un chef de bateau (à voir s'il peut vendre le bateau au marché naval).

    Si le port est dans une ville franche, alors le Maire est le Chef de Port.

    Pour l'instant, les ports ne nécessitent pas de maintenance quotidienne. pour l'instant...

    Le bureau du CaM
    Il voit l'ensemble des ports de la Province, leur niveau (port naturel, petit port etc), leur état (sur 200). Il nomme et révoque les Chefs de Port.
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Porto

    Le bureau du Bailli
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Baillitaxebato
    La taxe d'amarrage est fixée par le Bailli de 5 à 50 écus par jour. Elle peut être changée chaque jour, et même plusieurs fois par jour.

    Le Chef de Port

    Il est nommé par le Commissaire aux Mines de la Province dont dépend le port. Si le port est dans une ville franche, alors le Maire est Chef de Port (Dans ce cas, il ne peut plus faire évoluer le port, car il ne peut pas s'auto-attribuer de mandat avec les matériaux de construction).

    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) 25412646

    travaux: construction et amélioration du port

    l'inventaire du port: Le chef de port est le seul à pouvoir transférer des marchandises et des écus vers l'inventaire du port . Le transfert se fait directement depuis unmandat vers le port.
    L'ensemble des marchandises du mandat est alors transféré dans l'inventaire du port, et le mandat est restitué. De plus, ce qui va dans l'inventaire du port ne peut pas être utilisé pour autre chose que pour le port, et ne peut pas être rapatrié. Il ne faut donc mettre dans le mandat que ce qui sert à la construction ou au fonctionnement du port.

    communication avec les capitaines: Le Chef de Port valide ou pas les demandes d'amarrage et de réparations.
    Si les demandes d'amarrage sont refusées et que le bateau tente quand même d'accoster, alors, il devra affronter les défenses du port.

    cale sèche: pour construire et réparer les bateaux
    si le port ne dispose que d'une seule cale sèche (petit port de niv2); alors il n'est pas possible en même temps de construire et de réparer un bateau.
    cale sèche

    vigie: permet de voir l'arrivée des bateaux. plus le niveau du port est élevé, plus le chef de port voit loin.

    Código:
    Port de niveau 1 : faible rayon
    Port de niveau 2 et 3 : rayon moyen
    Port de niveau 4 : grand rayon de vision.

    Le Chef de Port peut en outre distinguer le pavillon (connaitre le nom du bateau et son capitaine) des navires s'approchant à une case ou moins du port.

    IV La construction du port

    • Le Chef de Port doit être sur place, de même que les employés. Si le port est sur un noeud, tout le monde doit être sur le noeud.
    • Le Chef de Port décide chaque jour combien de personnes il veut embaucher. Une fois les embauches lancées pour la journée, il n'est pas possible d'en ajouter ou d'en enlever.
    • Si toutes les offres ne sont pas prises, les salaires sont payés, mais les travaux n'avancent pas.
    • Les offres sont visibles à la mairie de la ville, sauf si le port est sur un noeud. Dans ce dernier cas, les embauches se font directement au port (Un onglet 'Travaux' est alors visible dans la page du port.)
    • Les salaires sont payés depuis l'inventaire du port.

    Les travaux commencent par le terrassement, offre sans qualification, payée de de 18 à 25 écus la journée.

    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Immagineoa

    Le port est en travaux

    Vient ensuite la construction du gros oeuvre Il faut avoir les pierres en stock dans l'inventaire du port pour pouvoir commencer les travaux (à vérifier, il faut au moins les pierres correspondant aux emplois du jour)

    Construction de la charpente, des finitions, de la maçonnerie
    Pour la charpente et les finitions d'un petit port (niv2), il faut faire les embauches par multiples de 3, pour optimiser l'utilisation des ressources
    exemple: il faut 30 charpentiers, et 50 stères de bois.
    pour 1 embauche, il sera consommé 50/30= 1,67 stère de bois, arrondi à 2.
    pour 3 embauches, il sera consommé 3*50/30= 5 stères de bois

    Le petit port est terminé
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Portino
    [Política] Du métier de Commissaire aux mines et aux grands travaux (FR-Traduzir) Portt

    Pendant les améliorations d'un port en port de commerce (niv3) ou en arsenal (niv4), il est toujours possible d'utiliser la cale sèche pour construire ou réparer des bateaux.

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